Ainsi que le fameux «tranchet» qui lui permettait de couper les peaux de cuir, avec les patrons très rigides, en épais carton orange, qui étaient alignés sur le côté de son immense table en aluminium, marquée de toutes les coupures précédentes.
Il se spécialisera plus tard en plus des vêtements en cuir et en fourrure, dans les blousons et
combinaisons pour motards, y compris une version chauffante, mais qui à l’époque, n’aura pas de succès.